Encore les mots, toujours les mots ...

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J'écris , j'écris, quelques mots sur un papier juste pour écrire

Parce que j'ai envie de dire...

Des mots sur un papier, qui volent vers je ne sais quelle destinée...

Qui les lira, qui les comprendra ces mots à la suite ainsi couchés, 

Seront ils pris au premier ou au second degré?

J'écris, puis parfois me relis pour corriger l'ondulation du cours de ma pensée, 

C'est parfois le " bazar", quand mes idées sont floues, 

En écrivant peut être je trouve un sens  à leur donner, 

A ces pensées qui jamais ne cessent de se bousculer...




Le sens donné aux mots n'est pas unique,  

Chacun  a sa version qu'il croira tantot magique tantot diabolique...

Il y a tant de nons dits implicites, 

De sens cachés qui donnent à chacun la possibilité d'y lire sa vérité...

Toi qui lis mes mots, je préfère te laisser la possibilité de vagabonder et d'imaginer, 

Je n'écris pas pour me faire comprendre  ni même pour m'étendre, 

Si mes mots se couchent ici parfois c'est pour désengorger les chemins de ma pensée, 

Car si  bison futé voit rouge, je risque de perdre le fil rouge, 

Et dans ce cas plus rien ne bouge...




Ainsi je te laisse parfois trouver le sens qu'il te sera possible de leur donner
 
En fonction de tes propres expériences passées...

C'est mon crayon qui donne le la  et qui trace la voie , 

C'est un mélange rempli de moi, mais pour lequel je te laisse le choix, 




Alors au plaisir de retrouver au détour de quelques mots ici posés
...

 

Publié dans LE COIN DES MOTS

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S
L'albatros est en chacun de nous lorsqu'il vit des situations pour lesquelles il n'est pas adapté. Comme un auteur lorsqu'il se sent vide d'avoir crée où incompris du reste de la société.A Très bientôthttp://sylvainlambert77.over-blog.com
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S
Ls mots ont toujours un sens pour celui qui les écrit et ils prennent leur envol lorsque tout un chacun les lit..."la galerie de la vie" Comme une boule à facettes qui tourne telle une girouette, la vie nous offre différentes silhouettes qu'elle anime comme des marionettes. Sur toutes les scènes elle est présente, des plus anciennes au plus récentes, visite guidée au plus profond, pour une nouvelle exposition. Festival de têtes et de couleurs, de coups de lames, de coups de coeurs, portrait d'hommes ou bien de femmes, coup de blues ou vague à l'âme. Retranscrire ceux que l'on ne voit pas, ceux que l'on oublient, qui ne sont pas, tout ceux qui sont d'ici ou là, anonymes même en chocolat. C'est une valse interminable, rythmée ou épouvantable, à la fois sensuelle et pudique, description de la vie publique. C'est sans une ombre au tableau que l'on dépeint tout nos fléaux, tout les tocards, les marginaux,, ceux qui ne sont pas des robots. Un descriptif bien théorique, sans aucun sens artistique, incomplet et subjectif, à l'imparfait du subjonctif. C'est un peu de toutes ces lumières, que réveillent ces posters, tranches d'hier et d'aujourd'hui dans la galerie de la vie. Sylvain Lamberthttp://sylvainlambert77.over-blog.com
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