Représentation mentale d'un idéal sous la fraicheur hivernal
Baladant sur l’avenue, je regarde les allées et venues,
Des gens pressés de rentrer c’est vendredi c’est RTT,
Il est 17 heures et des … dehors je pointe mon nez,
Moi je ne suis pas pressée, je marche d’un pas léger,
Rêvassant en respirant l’air frais …
Dehors se sont allumées les guirlandes de Noël,
Tout cela avec un certain respect pour le fameux Grenelle
De l’environnement bien sûr, les temps sont durs,
Alors la ville a pris des mesures, pour préserver la nature…
A 17 heures et des…. tout est encore allumé,
Et dans les petites rues pavées de mon quartier ,
Une fois la grande avenue quittée,
Je regarde la fumée s’échappait lentement des cheminées,
La nostalgie m’envahit, mon nez a repéré,
Ces odeurs de bois brûlé, que mon enfance m’a révélé,
Ce soir encore elles sont d’actualité,
Mais elles ont perdues leur goût léger
Qui enfant me laissait à penser que tous nous nous endormions apaisé…
L’odeur de bois brûlé y est,
Mais aujourd’hui je sais que de l’illusion à la réalité,
Il y a quelques années , celles de la maturité,
Je regarde alors la réalité avec les yeux de la pensée,
Et en toute honnêté je suis obligée de constater que l’extérieur a bien du mal à se réaliser ….
On peut choisir de pleurer et de se lamenter ,
Ou bien même encore de râler ,
Sur ce monde qui manque de paix,
On peut aussi agir et espérer qu’il est possible de changer,
Pas forcément de grandes actions mais de personnelles petites réflexions,
Qui sur de petits gestes aboutiront …